Suivront l’Ascension, le 29 mai, qui tombe également un jeudi. La Fête nationale, marquant l’indépendance du pays, sera célébrée le 26 juin. Cette dernière, attendue par tous, tombe aussi un jeudi cette année. Les chrétiens célébreront l’Assomption le vendredi 15 août, tandis que la communauté musulmane marquera l’Aïd-el-Fitr, prévu pour le lundi 31 mars. Enfin, la fête de Noël clôturera l’année et sera célébrée le jeudi 25 décembre.
Equilibre
Toutefois, trois parmi les jours fériés officiels coïncideront avec des week-ends, ce qui limitera leur impact pour les travailleurs. La Journée internationale des droits de la femme (8 mars), la commémoration des martyrs de la lutte pour l’indépendance (29 mars), et la Toussaint (1er novembre) tomberont tous un samedi. Par ailleurs, d’autres jours, comme le Lundi de Pâques et celui de la Pentecôte, restent chômés mais non payés. Une autre fête musulmane, l’Aïd-el-Adha, pourrait également être célébrée en juin, selon le calendrier lunaire. Les employeurs malagasy sont tenus de respecter ces jours fériés pour leurs salariés, conformément aux dispositions légales. Cependant, pour de nombreux travailleurs, le fait que certains jours fériés coïncident avec des week-ends suscite des frustrations. Cela montre le besoin de réfléchir à une meilleure répartition ou à une compensation de ces journées. Ainsi, l’année 2025 offre un équilibre entre célébrations religieuses, fêtes nationales et congés obligatoires. Cependant, leurs impacts varient selon les secteurs et le calendrier de chaque entreprise.
Carinah Mamilalaina